Catégorie: "Paroisse"
Conférence de François Bazin
Février 3rd, 2015Voilà la conférence a eu lieu.
Il y avait au moins 100 personnes de tous âges. Inutile de dire qu’on a appris beaucoup de choses concernant le quartier depuis les meetings aériens jusqu’à la venue de Buffalo Bill et de ses indiens à Dijon. Nous avons appris les spécificités de ce quartier le premier de Dijon obéissant à un plan d’hurbanisme.
On peut voir quelques photos sur le site du Bien Public ou sur le site de la paroisse.
C’est pour bientôt
Conférence sur la quartier de la maladière
Février 1st, 2015Aujourd'hui messe des familles et conférence
C'est la fête de saint Jean Bosco. A cette occasion nous organisons une fête des familles avec une prise en charge des enfants.
Par ailleurs, l'après midi à 17h00 nous avons une conférence de Monsieur Bazin qui nous parle du quartier de la Maladière, de son histoire et de son sens.
La rentrée ou presque !
Août 20th, 2014N'exagérons pas, ce n'est pas encore la rentrée mais déjà elle s'annonce. Et, en ce qui concerne la paroisse, elle s'annonce avec l'arrivée d'un nouveau prêtre venu d'Afrique. Il arrive de Dakar, a vécu au Cameroun, en Afrique du Sud mais est originaire de République Démocratique du Congo. C'est le père Tony Tshimpaka.
Il est arrivé le 20 août au soir avec deux valises.
Il est donc du même pays que le père Amédée qui a passé une année à la paroisse mais ils ne sont pas de la même région de cet immence territoire ce qui n'a pas empêché ces deux prêtres d'éprouver une grande joie de se rencontrer.
Le repas du soir, où les pères Amédée, Tony, Gérard et moi-même, sz sont retrouvés, fut empreint de bonne humeur, Chacun a évoqué des souvenirs découverts partagés en faisant appel à des périodes anciennes où des personnes connues de plusieurs ont laissé des marques. Comme souvent dans ces cas là, on évoque le temps du séminaire, des professeurs qui ont rencontré plusieurs générations. On parle de voyages en Afriques, des pays visités, de ce qu'on y a ressenti, ce qu'on y a vécu.
Voilà qui annonce des rencontres bien fraternelles et un avenir prometteur pour le travail en commun.
La nuit des églises au Sacré Cœur
Juillet 6th, 2014Ce fut une soirée vraiment formidable.
On a commencé par un tour de l'église commenté par le docteur Lebel qui a vécu bien des événements de la construction.
En une heure nous avons pu découvrir l'essentiel avec un auditoire admiratif devant de grandes pespectives originales d'une étonnante nouveauté soulignées par de multiples détails. Tous de dire: "On n'avait jaais vu cela auparavant !". Pensez seulement que la totalité de la surface intérieure des murs est recouverte de motifs partout différents sculptés dans l'épaisseur de l'enduit. Qui a remarqué la qualité des sols pavé d'une manière nouvelle à l'époque et forrt peu reproduite ensuite ? Et on ne parle pas des vitraux, mosaïques, sculptures et peintures bien plus souvent remarqués.
Puis, ce fut le repas très sympathique autour d'un barbecue fourni de tout ce que chacun a apporté.
Ensuite le concert d'orgue permit de découvrir les qualités de l'instrument qui se voulait universel et l'est largement resté. On est passé d'une transcription pour orgue d'une pièce de Vivaldi jusqu'à une transcription d'une pièce contemporaine de guitare en passant par la suite gothique de Léon Boellmann.
L'orgue du Sacré Cœur (typique des orgues du XX° siècle), où jouèrent les plus grands organistes, eut à une époque récente plus de 70 jeux répartis en deux endroits de l'église, une partie de l'orgue était dans la tribune près du chœur. Une malencontreuse restauration autour de 1975 retira 18 jeux parce que l'ensemble semblait trop complexe à maitriser pour les organistes de l'époque.
Ce qui reste est toutefois encore étonnant de capacités puisqu'on peut tout jouer. L'organiste (Dominique Richaud) et son fils surent nous le montrer.
Lendemains de premières communions
Juin 3rd, 2014Je reviens sur ce que je disais hier.
Dimanche ce furent les premières communions comme indiqué précédemment. Les réactions des paroissiens sont mitigées parce que l'afflux de gens non-pratiquants induit des désagréments. Les gens discutent entre eux dès qu'il y a le moindre temps mort, lorsque ce qui se passe ne se voit pas, lorsque les paroles ou les chants sont inaudibles ou incompréhensibles. Il y a tout un art pour célébrer avec des gens qui n'ont pas l'habitude des églises. Il faudrait presque se transformer en animateurs ce qui n'est pas vraiment liturgique.
De plus tous veulent voir et entendre. Or, les sonos ne sont jamais vraiment au point car sonoriser correctement une église est difficile et cher. Quant à voir, il faudrait que les actions des jeunes se fassent en situation sur-élevée ce qui n'est pas forcément réalisable.
L'homélie doit être adaptée en conséquence. Elle doit être extrêmement simple, sans aucun mot technique ou de jargon théologique. A mon sens, il faut parler comme si on s'adressait à des enfants et, pourquoi pas, dire qu'on s'adresse spécialement aux enfants. Un jour de première communion c'est normal.
Les pratiquants veulent des temps de recueillement, des moments d'intériorisation et de prière personnelle.